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Ma suppléante, Elisa Gorins

Elisa Gorins a 29 ans, et née et a grandi à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Journaliste et communicante spécialisée dans le domaine animalier, elle travaille avec moi depuis 3 ans. Nos valeurs communes, notre amour pour les animaux et notre détermination à les défendre nous lient. Elle est candidate aux élections législatives dans la 4ème circonscription de l'Oise en tant que suppléante. 

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Biographie

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Née et ayant grandi à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine), je suis âgée de 29 ans. Je considère que c’est à l’âge de 18 ans que ma vie a pris un sens, lorsque j’ai rencontré ma chienne Nala. C’est elle qui a changé ma vie.

 

A 18 ans, comme de nombreux jeunes, je me cherchais : qu’allais-je faire de ma vie ? Je n’en avais aucune idée. Mais lorsquexxj’ai adopté Nala, c’est-à-dire, lorsque j’ai réalisé mon rêve d’enfant d’avoir enfin un chien, c’est comme si tout s’était soudain éclairé : comme une évidence, je retournais « aux sources », à qui j’étais vraiment, intimement : une amoureuse des animaux qui, depuis le plus jeune âge, n’avait finalement qu’une seule envie : vivre à leurs côtés, les aimer, les comprendre, les protéger.

 

Parce que j’aimais écrire et que je m’intéressais à de nombreux domaines (Histoire, cinéma, géopolitique, minorités ethniques…), je me suis lancée dans des études de journalisme. En parallèle, j’ai créé mon entreprise et mon média animalier, en 2014, La Gazette animale. C’est au cours de cette expérience que je me suis immergée dans le milieu associatif et militant. En tant que journaliste, je couvrais de nombreuses manifestations (contre l’expérimentation animale, le braconnage, la fourrure, etc.), rencontrais différents acteurs de terrain, visitais des refuges, et cherchais à tout prix à comprendre et retranscrire les motivations de ces humains devenus de plus en plus nombreux à se battre pour les droits des animaux.

 

C’est aussi à cette période que je me suis instruite sur les problématiques liées à la chasse, à la captivité des animaux sauvages, à la conservation des espèces, au trafic d’animaux de compagnie, ou encore à l’expérimentation animale. Pour chacune de ces causes, j’ai toujours eu à cœur d’échanger avec des personnes des deux « camps » : celles qui défendent les animaux, et celles qui commettent des actes de maltraitance ou de cruauté à leur égard, parfois même sans en avoir conscience. Devoir de neutralité journalistique oblige, me faire mon propre avis en ayant connaissance de faits objectifs était pour moi une nécessité absolue pour ne pas céder à de simples réactions émotionnelles. J’ai donc aussi bien discuté avec des chasseurs qu’avec des anti-chasse, avec des scientifiques pro-vivisection comme avec de fervents militants contre cette pratique, avec des dresseurs de cétacés comme avec des membres d’association contre les delphinariums, etc. Cela m’a permis d’accroître mes connaissances de la « protection animale », ses enjeux et ses limites.

 

Une fois diplômée en journalisme, j’ai voulu compléter mon parcours étudiant avec un master en communication. Au cours de celui-ci, j’ai réalisé un mémoire portant sur l’influence des médias dans la sensibilisation du grand public à la cause animale.

 

A l’issue de ma première année de master, j’ai été embauchée comme journaliste pour Wamiz.com, premier site sur les animaux de compagnie en Europe. J’y ai travaillé pendant deux ans, durant lesquels j’ai acquis de nombreuses connaissances sur les animaux de compagnie et les acteurs publics et privés du secteur animalier.

 

En 2018, j’ai rejoint le Dr vétérinaire Thierry Bedossa en tant que responsable de la communication de l’association AVA (Agir pour la Vie Animale), ainsi que de ses deux cliniques vétérinaires. Depuis lors, je vois et je vis les réalités de la « protection animale » chaque jour : faire vivre un refuge en trouvant les fonds nécessaires, sauver des animaux de l’euthanasie de convenance ou de l’abattoir, agir auprès du plus grand nombre pour informer et sensibiliser à la compréhension du vivant, mesurer la détresse humaine, y répondre autant que possible et pallier les méconnaissances de l’Homme vis-à-vis des animaux, sont autant de défis de mon quotidien.

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Pourquoi me présenter en tant que suppléante de Thierry Bedossa ?

 

Thierry Bedossa et moi avons des parcours très différents mais qui se rejoignent en de nombreux points. Notre empathie envers les animaux mais aussi envers les humains, nos valeurs communes, notre pragmatisme et notre détermination à agir réellement pour les animaux, sont autant d’éléments qui nous rapprochent et nous permettent, depuis plus de trois ans, de travailler ensemble avec complicité et efficacité.

 

Cependant, près de 30 ans nous séparent, et nous n’avons pas toujours la même vision de la protection animale. Nos expériences et ressentis respectifs nous permettent d’être complémentaires, et de toucher des personnes de tranches d’âge et de sensibilité différentes.

 

Si je me présente en tant que suppléante de Thierry Bedossa aux élections législatives, dans la 4ème circonscription de l’Oise, c’est pour défendre les animaux dans ce département si riche sur le plan culturel et environnemental, et où les problématiques de protection animale sont si nombreuses.

 

La préservation de la biodiversité, la lutte contre les chasses traditionnelles, la lutte contre les maltraitances dites "passives" infligées aux animaux de compagnie, de ferme et de loisir, sont des thèmes qui me touchent particulièrement. 

 

J’ai également à cœur de dé-marginaliser les protecteurs des animaux, hélas trop souvent perçus – à tort et de façon caricaturale – comme des misanthropes en proie à quelques sensibleries. Thierry Bedossa et moi voulons montrer que ceux qui aiment les animaux et veulent les protéger sont au contraire bien plus nombreux qu’on ne le pense pour peu qu’on leur donne la possibilité d’exprimer la voix que les animaux, eux, n’ont pas.

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Présentation de notre duo en vidéo : 

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